Kenya - jour 10 - du Mara à Lamu (côte est)

vue de notre nouvelle tente : la rivière au fond est haute.

Mais la tente est surélevée. Bonne nuit (l'hippo a été calme).

Dernier petit déjeuner dans le Mara. Tristes de partir.

Et c'est parti pour deux heures et demie de route difficile - mais notre conducteur et guide, William, a su contourner toutes les difficultés. En chemin nous avons vu un tout petit girafon qui avait dû naître pendant la nuit, puis une maman zèbre assise avec trois zèbres debout à ses côtés, prête à accoucher d'après le guide.

Les routes sont devenues des torrents.

Les prairies sont détrempées.

Une fois sortis de la réserve, la prairie s'étend à perte de vue.

Passage difficile : quelques heures avant ce pont était infranchissable.

pays Masai

souvent des clôtures

de nombreux troupeaux (vaches et un peu de moutons et chèvres)

Quand ce n'est pas l'eau, la piste n'est que boue gluante et glissante.

un troupeau

et l'antenne 3G

Quand ce n'est ni l'eau, ni la boue, la route ressemble à un lit de torrent, tout en pierres...

le camion à droite a glissé dans le fossé.

Une école : "Knowledge is power"

Le bétail doit être content, mais en saison sèche, cela doit être problématique.

aéroport de Ol Kiombo dans le parc national du Masai Mara (beaucoup de touristes)

traces de gazelle sur la piste

et de lion !

l'atterrissage précédent a laissé quelques traces...

Fascinant : le swahili contient plein de mots arabes.

Quelques heures de correspondance à Nairobi (Wilson Airport) : les tracteurs tirent les avions.

en rouge le trajet en voiture, puis en bleu le trajet en avion : direction Lamu, 652 km plus à l'est-sud-est

Beaucoup plus sec vers l'est

arrivée vers l'archipel de Lamu

La piste

un baobab près de la piste d'atterrissage (mon arbre préféré !)

Après 25 min de bateau dans le vent et à toute vitesse (pas de photos...) arrivée à l'hôtel

Denzil médite !

Dîner sur la plage à la lueur de la pleine lune et des étoiles de l'hémisphère sud